Saviez-vous que tout est vibration, énergie ? Tout ce qui compose notre monde possède un taux vibratoire.
Voilà qui offre une nouvelle perspective sur ce (et ceux) qui nous entoure, ce que nous faisons, ce que nous disons, mangeons, etc…
En tant que grande gourmande (pour ne pas dire « accro au sucre ») animée d’une immense envie de grandir et de m’éveiller, je me pose la question de l’impact du sucre sur notre taux vibratoire.
Tout d’abord définissons le taux (ou niveau, ou fréquence) vibratoire.
1/ Le taux vibratoire :
– Qu’est-ce-que c’est ?
C’est la vibration énergétique (ou énergie vitale) présente dans tout ce qui est vivant, mais également dans les lieux, les objets, les pensées, les mots, etc…
Bref, dans tout ce qui est visible et invisible.
Intéressant, non ?
– Comment mesure-t-on le taux vibratoire ?
On le mesure par radiesthésie, sur ce que l’on appelle « l’échelle de Bovis » (son créateur). L’unité de mesure est appelée l’unité Bovis (UB), ou (plus rarement) angström.
On peut également utiliser la méthode de mesure bioénergétique. Je vous invite à lire cet article très intéressant à ce sujet : Mesures de l’énergie vitale des produits
Si vous avez besoin de référents plus « scientifiques »: Nikola Tesla, dans ses multiples travaux et inventions, utilisait il y a déjà bien longtemps les « énergies libres ». Elles sont connues sous le nom de « Prana » en Inde, « Chi », ou encore « énergie universelle », et sont des énergies vitales disponibles partout et tout le temps.
– Comment l’augmenter et quel est l’intérêt d’élever son taux vibratoire ?
Étant donné que nous possédons plusieurs corps (corps physique, corps étherique, corps émotionnel, corps mental, et corps divins), et qu’ils sont tous en interrelation, nous pouvons élever notre taux vibratoire de bien des manières.
Celles qui semblent être efficaces sont :
– la méditation. (Je rappelle que la méditation est la présence à soi-même, à nos pensées, émotions, sensations, etc… sans jugement et sans attache si possible),
– la prière, la bénédiction,
– la gratitude, Voir l’article sur la gratitude
– les aliments bios, vivants et le plus frais possible,
– cultiver des pensées et relations harmonieuses,
– désencombrer notre lieux de vie de toutes les vieilleries dont on ne se sert plus,
– éviter les pollutions électromagnétiques,
– être au contact de la Nature,
– faire de l’exercice physique,
– boire de l’eau de qualité (et informée c’est encore mieux). https://paroledame.com/la-fleur-de-vie-un-puissant-allie-au-quotidien/
– Élever sa fréquence vibratoire : pourquoi ?
Il semblerait que nous soyons faits pour cela ! L’extraordinaire création que nous sommes est « équipée » pour et dans cette dynamique là.
En élevant notre taux vibratoire nous retrouvons la santé naturelle et innée de notre corps. Nous retrouvons un équilibre intérieur, avec des pensées et des émotions plus faciles à gérer, un regard sur la vie plus éclairé. Mais aussi un sentiment de bien-être, plus d’enthousiasme et de Conscience. Bref, nous retrouvons notre potentiel initial, celui que nous avons reçu à la naissance et que, si nous n’avions cessé de le polluer à tous les niveaux, nous aurions encore aujourd’hui. La maladie et la souffrance ne sont pas des fatalités.
Venons-en à l’alimentation.
2/ La fréquence vibratoire des aliments :
Plus le taux vibratoire de l’aliment sera haut, plus il sera bénéfique pour la santé, et inversement.
Par conséquent, si l’on souhaite maintenir un taux vibratoire élevé ou l’augmenter, nous devons apporter un soin particulier à ce que nous ingérons.
Il est très difficile de trouver des études scientifiques au sujet de l’alimentation et son rôle majeur dans notre niveau vibratoire.
Par contre, il y a énormément de témoignages qui prouvent qu’un changement radical d’alimentation et d’hygiène de vie amènent la guérison. Bien sûr je parle ici de changement vers une alimentation biologique, basée essentiellement sur des fruits et légumes frais. Je vous invite à aller voir du côté d’Irène Grosjean (Dr en naturopathie), Thierry Casasnovas (Physicien), Miguel Barthéléry (Dr en médecine moléculaire).
André Simoneton (1893/1983), ingénieur français spécialisé dans l’électromagnétisme, a également étudié le taux vibratoire des aliments dans : « Radiations des aliment – Ondes humaines et santé ». Il en a été l’exemple vivant, il s’est guéri en changeant son alimentation pour ne consommer plus que des aliments à fréquence vibratoire élevée.
Selon lui, il y aurait des aliments « supérieurs » (qui ont des fréquences vibratoires égales ou supérieures à celles d’un être humain en bonne santé : de 6500 UB à plus de 10000 UB ), des aliments « de soutien » (de 4000 UB à 6000 UB), et des aliments « inférieurs » ou « morts ».
Concernant les aliments morts, malgré les calories qu’ils contiennent et autres lipides, glucides, etc… ils ne feront qu’affaiblir les réserves énergétiques du corps parce qu’ils ne contiennent aucune signature énergétique. L’organisme finira par vibrer à une fréquence basse et ainsi entrer en raisonnance avec les virus, maladies, etc… (ainsi que la peur).
N’oublions pas que TOUT dans l’Univers a une fréquence vibratoire. Par exemple : un pneumocoque vibre à 5600 UB. Sachant qu’un corps en santé se situe à 6200 UB.
3/ Le taux vibratoire du sucre :
– Procédé de fabrication :
Ce que l’on a l’habitude de nommer « le sucre » est obtenu à partir de la canne à sucre ou de la betterave sucrière, broyées et pressées. Le jus sucré ainsi obtenu est mélangé à de l’eau, du lait de chaux et du dioxyde de carbone afin d’en enlever les « impuretés »(et au passage les sels minéraux, nutriments et composés organiques). Après filtrage, le jus est considéré « pur ». Ensuite, il est porté à ébullition pour devenir un sirop à 70% de saccharose (et déjà probablement 0% de Vie !). Puis, le raffinage se fait avec de l’alcool d’isopropylique. Et enfin, selon si c’est du sucre de betterave ou de canne à sucre, il pourra subir 3 cuissons avant séchage définitif.
En d’autres termes, je pense que je peux avancer ici que le sucre blanc, ce grand ami incontournable de l’industrie alimentaire, est un aliment totalement mort, dead, kaput…
Mais si seulement c’était tout, cela ne serait pas pire qu’un bon steack !
– Conséquences du sucre sur le cerveau :
Nous sommes nombreux à constater combien il est difficile de lutter contre une envie irrépressible de sucre.
C’est parce qu’il est extrêmement addictif !
Lorsque l’on mange un aliment sucré, la zone de notre cerveau correspondant au plaisir s’active et nous produisons de la dopamine. Si nous activons trop souvent cette zone (comme c’est le cas dans les pays industrialisés), alors nous devenons addicts.
De plus, il détériore la mémoire, augmente le stress, affaibli les capacités d’apprentissage, favorise l’état dépressif et les déficiences cognitives. Voir études des Dr Datis Kharrazian (« Why isn’t my brain working ? »), Dr Nicole Avena (« How sugar affects the brain ? »).
Bon, bon, bon… à bien considérer les choses, une décision me semble de mise.
Si, au lieu de continuer à faire l’autruche, nous changions nos habitudes de consommation ?
4/ Les solutions :
Vouloir changer nos habitudes demande de la discipline, de la vigilance et de la Conscience (c’est ce à quoi je me suis attelée dans cet article).
Effectivement, cela voudrait dire de ne plus acheter de plats préparés, de soupes, de conserves, sauces tomates, jambons, pains industriels. Sans oublier évidemment les biscuits, viennoiseries, bonbons, chocolats, sodas et autres jus de fruits archi sucrés…
Bref, recommencer à cuisiner « maison » à tous les niveaux. Faire la part belle aux fruits et légumes bios et crus, aux fruits à coque, aux graines germées, aux jus de légumes, aux légumes lacto-fermentés ! Il y a tout un monde méconnu d’aliments délicieux et vibrants !
Le fameux poison blanc industriel est très facilement remplaçable dans toutes les recettes par du sirop d’agave, rapadura ou sucre de coco (qui eux ont une énergie vitale).
Arriver à ce stade est déjà un grand pas, mais…. (et c’est là que je vais vous achever…)
Pensez-vous que la viande industrielle, les sucres lents, farines blanches et les produits laitiers sont classés dans les aliments vivants et vibrants à des hautes fréquences ?
NON.
Donc, si nous souhaitons monter d’un cran et réellement changer notre vibration pour de bon, il faudra à un moment donné faire une croix aussi sur tout ces compagnons alimentaires qui, pour encore beaucoup d’entre nous, sont la base de notre alimentation.
Wo wo wo ! Là, je sens pointer un léger découragement ! Attention vous descendez en vibration là ! 😉
5/ En conclusion :
Les recherches que j’ai faites pour enrichir cet article m’ont vraiment fait prendre conscience que le sucre est une des manières de nous contrôler, de nous rendre dépendants, et de nous détourner de nos capacités, de notre Conscience et de notre connection à l’intelligence de la Vie.
Je pense que le bénéfice serait immense comparé à la perte, si nous avions le courage et la volonté de nous défaire de nos chaînes alimentaires (sans mauvais jeu de mots !).
J’ai cette croyance qu’il faut 21 jours pour prendre une nouvelle habitude.
A nous de faire le choix de reprendre notre pouvoir et de vibrer aussi haut que nos coeurs le souhaiteront ! 💖💖💖
MERCI de m’avoir lue, et au plaisir de défier les habitudes ensemble,
Stéphanie.
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J’ai adoré l’article, voilà de l’éducation ! Pourquoi n’enseigne t’on pas ça aux gamins à l’école ??
Merci encore car il est temps de prendre conscience de l’extrême importance des fréquences qui nous entoure et comment en tirer parti, se soigner, etc… Je partage votre article.
Merci beaucoup! « Pourquoi n’enseigne-t-on pas ça aux gamins à l’école? » Voilà une bonne question! Vous me donnez un très bon thème pour un prochain article, il y aurait de quoi dire !! Merci pour votre commentaire et votre partage 🙏
[…] Tout ceci sans entrer dans aucune polémique et en se basant juste sur les mesures des taux vibratoires des aliments. Voir mon article https://paroledame.com/limpact-du-sucre-sur-notre-taux-vibratoire/ […]
magnifique article ! De plus nous pouvons réaliser de délicieux dessert sans aucun sucre et qui vibrent !
[…] Rappelons-nous que tout est fréquences, tout est vibrations : Article sur le taux vibratoire […]
Bonjour,
Je ne sais pas, j’imagine que nous avons besoin d’équilibre et pas tous le même métabolisme, et un taux vibratoire qui peut avoir besoin de redescendre parfois ?
Pour mon expérience, il m’arrive vraiment d’avoir besoin de sucres très rapides, et alors je ne me prive pas. Après je n’ai aucune addiction, c’est très ponctuel et en relation avec d’autres choses, sans détailler.
Tout dépend du rapport entretenu avec le sucre, notamment, mais cela peut être la charcuterie, la viande etc.
Il faut être à l’écoute de son corps matériel également, et apprendre à l’écouter, le connaître.
Merci pour cet échange, je vous partage ma simple expérience .